Sujet: (#49) Boom Clap, the sound of my heart Mar 14 Avr - 17:49
Andy & Briony
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L'amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.
New York City, 17 avril 2015. J'devais retrouver Briony à l'aéroport de New York, pour un week-end ensemble, elle restait jusqu'au dimanche soir. J'avais hâte de la retrouver... et pas hâte, en même temps. Je n'oubliais pas ce qu'il s'était passé avec Wade, je lui en voulais toujours et je ne voulais pas rebaisser mes barrières, je ne voulais pas la laisser ravoir le pouvoir sur moi aussi rapidement, aussi facilement. Je lui avais dit qu'elle allait galérer... et elle allait galérer encore. Mais bien malgré moi, elle me manquait. J'avais besoin de la retrouver ne serait-ce qu'un peu, de m'endormir une nouvelle fois dans ses bras et la retrouver plus intimement, surtout que son envie de me suivre à travers le monde était bien loin de me laisser indifférent. Non, j'pouvais pas rester insensible à ce qu'elle m'avait avoué par sms, même si ça ne restait que des mots, ils avaient tout de même une portée. Même si, peut-être, elle ne les mettrait jamais à exécution, elle les avait au moins pensés. Je me mordais les lèvres en attendant qu'elle descende de son avion, un peu anxieux. J'savais pas vraiment comme je devais réagir pour être honnête... Les dernières paroles par sms, ça allait, mais la dernière fois que nous nous étions vus, c'était un mois auparavant pour mon anniversaire et j'avais abrégé le plus possible. J'ignorais ce que ça allait donner durant tout un week-end... Soit, on verrait bien. Freestyle.
Sujet: Re: (#49) Boom Clap, the sound of my heart Mer 29 Avr - 10:48
Andy & Briony
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L'amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l'emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.
Dès la fin de mes cours sur Harvard, j'avais été en direction de l'aéroport, ma valise étant déjà prête pour éviter de retourner à la coloc et perdre du temps surtout. Déjà que j'allais pas avoir spécialement de temps avec Andy entre ses réunions et son boulot en général, j'vais pas en perdre plus alors que j'pourrais en gagner en m'organisant nan mais oh. J'tais anxieuse, ce qui était une première on va dire, si on exclue la saint valentin, dans notre relation. Mais là, ouai, j'appréhendais car j'savais que j'tais littéralement mise à l'épreuve. Dans ma facon de me comporter, dans mes mots, presque mes pensées, fallait que je me rattrape. Fallait pas que j'fasse tout merder. Alors oui, j'avais peur de ce que j'étais capable de faire ahaha, peur qu'il rompe à NYC ou que sais-je. On était capable de tout en un week end nous. Le vol se passa très bien mis à part un lourdingue qui mettait sa musique trop fort dans le coin et l'atterrissage également. Thanks god, pas de crash. J'fis toutes les démarches, récupérais ma valise en l'espace de quelques dizaines de minutes avant de sortir dans la hall en essayant de trouver mon copain du regard. Un sourire se dessinait de suite sur mes lèvres quand j'le trouva, avant d'aller vers lui sur quelques mètres puis lâcher ma valise pour le prendre dans mes bras. Rien que ça, ça me manquait avec cette relation à distance. Le contact, le physique, son parfum, tout ce qui faisait l'homme qu'il était quoi. Ca m'fait plaisir que tu sois venu me checher. J'm'attendais à son garde du corps ou qu'importe, même une pancarte. J'espère juste que jt'ai pas fait annuler de réunions. Ca, non, j'veux pas. Puis tu m'as manqué Andy, très fort.